France, été 44, à la libération...
Puisque ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire, Jean-Gabriel Périot se fait passeur de mémoire pour un retour salutaire sur l’oubli et pour mieux questionner nos futurs.
À partir d’images d’archives, à la frontière du documentaire, de l’animation et de l’expérimental, il tisse un montage apoplectique et syncopé pour mieux accuser la violence des sociétés contemporaines.
(10 minutes - Muet)
Compléments
Nijuman no borei (200 000 fantômes), de Jean-Gabriel Périot, 10 min, 2007. A-Bomb Dome, Hiroshima 1914-2006.
Dies Irae, de Jean-Gabriel Périot, 10 min, 2005. De ton amour ressouviens-toi pour qu’en ce jour je ne sois perdu sans retour
Under Twilignt, de Jean-Gabriel Périot, 5 min, 2006. Beauty and/or Destruction