Accueil |  Présentation  | Qui sommes-nous ?  | Charte éditoriale  | Nous contacter  | Partenaires  | Amis  | Plan du site  | Proposer un contenu

Suivre Liens socio

Mail Twitter RSS

Votre Liens socio

Liens Socio ?
C'est le portail d'information des sciences sociales francophones... Abonnez-vous !


Les économistes peuvent-ils sauver la planète ?

Un numéro de la revue "Regards croisés sur l’économie" N° 6, Novembre 2009 (La Découverte)

publié le mercredi 13 octobre 2010

Domaine : Economie

Sujets : Environnement

      {mini}

Par Brice Gilardi [1]

Commençons par le dire, le sensationnalisme journalistique du titre contraste avec le sérieux de cette synthèse de 250 pages, qui présente une vingtaine de contributions consacrées au problème de la lutte contre le réchauffement climatique, sujet qui constitue, dans ses dimensions médiatique, politique et scientifique, l’un des principaux combustibles du débat public des cinq dernières années. L’emballement de l’année 2010 a d’ailleurs pu agacer : internalisée par les forces de l’argent [2], la médiatisation du réchauffement s’est également révélée être, depuis une décennie, un puissant catalyseur de crédits de recherche [3]. A ce titre, le consensus du GIEC sur la dimension anthropique du phénomène confère un rôle heuristique fondamental à la science économique, qui, dans son acception standard, a pour objet « l’administration des ressources rares » [4]. On ne peut d’ailleurs que constater la prolifération des travaux d’économistes en la matière. Pour autant, alors même que sont remis en cause la crédibilité et l’impérialisme épistémologique de la science économique mainstream, comment ne pas douter de la capacité « des économistes » [5] à « sauver la planète » ? La crise financière et l’impasse de la théorie standard qu’elle a fait diagnostiquer à certains ont récemment donné lieu à une cascade de papiers plutôt cinglants [6]. Ainsi Pierre-Noël Giraud dans son introduction modère-t-il les attentes adressées aux économistes : ces derniers n’ont aucune norme d’aucune sorte à prescrire en matière de lutte contre le réchauffement climatique ! Par définition, ce travail relève de choix collectifs, donc intrinsèquement politiques, que les économistes doivent participer à éclairer par leurs productions scientifiques. Le livre est articulé autour de trois thèmes de recherche : l’urgence climatique (I), les moyens d’action pour y remédier (II) et les négociations internationales sur le climat (III).

La partie I convoque des analyses assez hétéroclites, dont celles d’Emmanuel Leroy-Ladurie, historien du climat et de Claude Kergomard, géographe, qui viennent ainsi déborder les sciences économiques. Sylviane Gastaldo expose sa conception du rôle de l’économiste : « modéliser les conséquences de l’accroissement de la concentration de Gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère sur l’activité économique résultant de cette même activité économique et chiffrer les coûts d’une lutte contre ce phénomène en fonction des moyens d’intervention envisagés ». C’est donc bien dans la formulation même du problème, au moyen des outils de l’analyse économique, que cet ouvrage s’avère intéressant. Les concepts de bien public global, d’externalité, de free-riding, de dilemme d’action collective, de soutenabilité (...) sont ainsi présentés et discutés dans plusieurs articles de cadrage. Sur la base du rapport Stiglitz, un texte de Didier Blanchet analyse les enjeux liés à la conception d’indicateurs alternatifs au Produit intérieur brut (PIB). Selon lui, les explications les plus courantes de la « mé-croissance » actuelle résident d’une part dans les imperfections de cet indicateur et d’autre part dans son caractère « culturellement » totalisant. Il explique donc à quelles conditions des indicateurs plus fins, intégrant notamment l’impact environnemental des activités humaines, peuvent accroître l’efficacité potentielle des politiques publiques. Pour en revenir au diagnostic, cette « religion » de la croissance, que certains zélateurs prétendent aller chercher « avec les dents » [7], est de plus en plus fréquemment remise en cause. Remarquons au passage que rien dans la dévotion de ces obsessionnels ne les distingue des groupuscules « anti-technologie » les plus ésotériques, sinon simplement leur caractère majoritaire et dominant. Dans ce cadre, n’y a-t-il pas un biais analytique à sur-interpréter la responsabilité des incomplétudes du PIB dans la crise environnementale : nos sociétés ont beau lui conférer une centralité difficilement contestable, le PIB n’en reste pas moins un indicateur, à savoir une froide et inexacte mesure du réel. Si à l’évidence, l’efficacité d’action des pouvoirs publics implique un enrichissement des indicateurs existants, notamment en termes inter-temporels [8], on a peine à croire que les nuisances liées à la surconsommation, que l’on sait consubstantielle à la réalisation débridée du capitalisme de notre temps, puissent être annihilées du fait même de l’existence d’indicateurs alternatifs, aussi raffinés (et subversifs !) soient-ils... En effet, si la conception d’un « tableau de bord » plus englobant est nécessaire, elle n’est assurément pas suffisante : reste aux pouvoirs publics à surmonter l’essentiel. Hypothèse faite d’une réelle volonté politique de leur part, ils doivent agir par les incitations et la contrainte règlementaire sur des agents décentralisés et déterritorialisés, dont les « fonctions de préférence » sont contraintes par les forces de la concurrence internationale et des macrostructures sociales d’un régime d’accumulation dominé par la finance.

Apparaît ici la première limite de l’ouvrage : la dimension politique de la lutte contre le réchauffement climatique en est relativement absente. Une limite attenante réside en ce que les approches d’économistes disons-le, plus radicaux, ou simplement hétérodoxes, certes minoritaires dans le champ et d’ordinaire plus difficilement transposables dans le réel, y soient réduites à une portion pour le moins congrue : c’est par exemple à la faveur d’un encadré de quatre pages que le courant de la décroissance est présenté à traits assez grossiers, pour être ensuite disqualifié de manière quasi spécieuse. Pourtant, bien que contestables au même titre que toutes autres, les thèses des partisans de la décroissance, ou celles relevant moins radicalement d’une écologie politique plus anticapitaliste, ne méritent en aucun cas, même dans un ouvrage de ce type, d’être balayées en un paragraphe dont la teneur traduit une assez grande méconnaissance quant à la qualité et au caractère protéiforme de ces recherches [9].

La partie II relative aux moyens d’action se situe sur le terrain de prédilection des économistes qui, modèles simulations économétriques à l’appui, évaluent le niveau d’optimalité de solutions alternatives. L’analyse des marchés de droits d’émissions de carbone (ETS : Emission Trading Scheme) y tient une large part. Sylviane Gastaldo, après avoir démontré en quoi les deux instruments d’action « économiques », à savoir action sur les quantités (permis de pollution négociables, crédits de réduction des émissions), et action sur les prix (fiscalité verte, taxe carbone, contribution climat-énergie) étaient théoriquement plus efficaces que la réglementation [10] (normes techniques d’émission), s’interroge sur la manière dont ces trois instruments doivent être combinés pour obtenir un impact maximal. C’est ensuite le problème de la volatilité du cours du carbone sur le marché européen ETS qui est analysé dans l’une des deux contributions signées par Jacques Le Cacheux et Eloi Laurent. Leur étude met en évidence qu’en dépit d’un des objectifs fondamentaux qu’on lui assigne, à savoir réduire le niveau d’incertitude pour les firmes, ce marché, en proie à une forte spéculation, à même tendance à l’accroître : les entreprises n’ont par conséquent aucun signal-prix crédible à long terme à internaliser dans leurs plans de réduction d’émission. De plus, selon ces mêmes auteurs, la focalisation de l’action publique sur ces marchés pose d’autres problèmes d’efficacité écologique : exclusion des pollutions diffuses les plus préoccupantes et dynamiques [11], problème d’équité écologique dû aux trop nombreuses exonérations accordées aux entreprises [12]. Dans leur contribution, Philippe Aghion, David Hemous et Reinhilde Veugelers cherchent quant à eux à « endogénéiser » l’innovation verte, exogène dans les raisonnements économiques traditionnels [13]. En effet, si la fixation d’un prix du carbone et son maintien à un niveau élevé est de nature à inciter les entreprises à investir dans des énergies et des techniques de production propres [14], le problème est que le coût en productivité induit par le transfert de capital sur des technologies moins matures est substantiel.

Enfin, la partie III aborde les négociations climatiques internationales sans toutefois entrer dans la complexité d’une analyse géopolitique sérieuse [15]. Roger Guesnerie discute les problèmes économiques posés par ces négociations et propose une solution : intégrer rapidement les PED au marché ETS et fixer un objectif égalitaire d’émission par tête à 2060. Cette option aurait à ses yeux l’intérêt de concilier deux objectifs : celui d’efficacité, car les émissions doivent être massivement réduites dans les pays en développement, là où l’effort y est le moins coûteux, et celui dit de « justice historique », la responsabilité des pays industrialisés dans le GES déjà émis les astreignant à une forme d’obligation d’action [16]. Y figurent également différentes contributions traitant notamment de la stratégie européenne de réduction de GES et de l’impact de la lutte contre le réchauffement sur les politiques de développement des pays du Sud (...) Un texte d’Olivier Godard pose enfin la question salutaire d’un « ajustement carbone aux frontières » pour corriger les différentiels de compétitivité découlant de l’hétérogénéité des politiques nationales. Une vision doctrinaire du libre échange y est ingénieusement remise en cause.

En définitive, bien édité et très informatif, agrémenté de nombre d’encadrés thématiques en règle générale bien ficelés, cet ouvrage mérite que l’on s’y attarde. Mais on pourra l’attendre au fil des pages [17], on n’y trouvera pas l’ombre d’un questionnement du mode de production capitaliste en tant que tel [18].
L’ouvrage est au final de bonne tenue scientifique, mais assez désespérément tiède et monochrome dans l’orientation des points de vue qu’il combine : « Regards croisés » certes, filtrés néanmoins... On pourra objecter que ce n’est pas « Le capitalisme » en soi, qui « détruit » la planète, preuve en est le bilan de régimes collectivistes en la matière... Mais est-ce pour autant faire preuve de clairvoyance que de considérer les dynamiques de marchandisation et d’ « hyper-consommation » [19] comme strictement exogènes dans l’explication du processus de destruction des écosystèmes à l’œuvre ? [20] Il est clair que la focalisation actuelle sur le problème du réchauffement, et à plus forte raison, le caractère non-subversif des solutions envisagées à ce jour, n’est pas sans illustrer la capacité historique de résilience par la récupération, déjà bien éprouvée, du capitalisme [21]. En résonance avec cela, les partisans d’une écologie politique, assumant l’idée d’une conflictualité irréductible avec certains traits constitutifs du capitalisme, prônent d’abord un décloisonnement méthodologique des sphères environnementale et sociale. Dès lors une question se pose : comment « sauver la planète » en préservant tout de la structure d’un mode de production qui présure à ce point l’espèce humaine, par unique recours à des inflexions incrémentales dont on peut penser qu’elles ont précisément pour fonction d’en assurer la reproduction ? Or ces réflexions radicales existent bel et bien. Elles complètent utilement les travaux disciplinaires plus classiques qu’il est par ailleurs bien naïf et injuste de blâmer par principe. Car les économistes tentant d’apporter leur contribution à ce débat le font « toutes choses égales par ailleurs », généralement sur la base d’évolutions probables et dans le cadre des rapports de force existants, qu’il n’est ici point la peine de décrire. Il est certain en outre que si les constructions intellectuelles radicales apportent une profondeur d’analyse indépassable et nécessaire, certaines postures « fondamentalistes » faisant fi des inerties socio-économiques peuvent à certains égards relever moins de l’économie que de la science-fiction [22], champ qu’exclut légitimement le cahier des charges de la revue... En définitive, au delà de toutes ces questions laissées en suspens, il reste indéniable que le lecteur en quête de recul théorique, prêt pour cela à surmonter parfois des passages plutôt techniques [23], trouvera en ce numéro un panorama réellement digne d’intérêt des réflexions que produit l’analyse économique sur la problématique du réchauffement climatique.

NOTES

[1Professeur de sciences économiques et sociales

[2Nombreuses sont les firmes qui affichent ostensiblement un souci de l’environnement assez généralement factice (« Green-washing » ), tout comme les Etats : ainsi, la principauté de Monaco, Etat parasitaire s’il en est puisqu’illustre paradis fiscal pour propriétaires de Yatch sans pot catalytique, communique massivement son souci de lutter contre le réchauffement climatique. Le journaliste François Ruffin y a consacré un reportage pour le moins caustique dans l’émission Là-bas si j’y suis le 31 décembre 2008 : http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1583&var_recherche=monaco

[3C’est notamment l’avis de certains climato-sceptiques, qui interprètent cette surexposition comme un voile à de nombreux autres problèmes environnementaux, et scientifiques...

[4Acception standard et en l’occurrence Barriste ! Raymond Barre (1959), Economie politique, PUF.

[5D’autant plus que le monde académique de l’économie est aussi fortement hétérogène et qu’intensément conflictuel, ce à de nombreux points de vue.

[6Avec notamment l’article au vitriol du « Nobel » Paul Krugman dans le New-York Times, abondamment commenté, repris sur le blog de Christian Chavagneux : http://alternatives-economiques.fr/blogs/chavagneux/2009/09/04/krugman-contre-les-economistes/

[7L’esprit taquin ne pourra s’empêcher de relever le caractère non tant exalté que fondamentalement irrationnel de cette déclaration. Sur le fond, ce vocabulaire, qui relève du champ lexical du combat, est assez révélateur du rôle mobilisateur, au sens à la foi militaire et religieux du terme, que joue la notion de croissance dans les démocraties libérales. Ici, la phraséologie sarkozienne, qui perd tout son habillage viriliste du fait de son fond purement incantatoire, semble exprimer la forme sécularisée d’un culte, dont tous les chefs d’Etat sans presque aucune exception sont les adeptes, à ceci près que la plupart d’entre eux expriment d’ordinaire leur foi de manière plus policée...

[8Dans la logique du développement durable consistant à « assurer le développement économique des générations présentes sans compromettre celui des générations futures ».

[9Dont les initiateurs ne prônent pas tous ni la vie en communauté dans le Larzac et ni une alimentation fondée sur brocoli bouilli arrosé de lait de brebis... Extrêmement hétérogène et surtout en aucun cas réductible à un groupe de « gauchistes sectaires » (même si certains correspondent fort probablement à cet idéal-type) : on y trouve même des théoriciens de la « nouvelle droite » à l’image d’Alain de Benoist (2007), Demain, la décroissance ! Penser l’écologie jusqu’au bout, Edite.

[10Les modèles économiques traditionnels aboutissent à la conclusion selon laquelle la règlementation est sous-optimale, dans la mesure où elle contraint la liberté de choix des agents. Leviers prix et quantités sont perçus par les théoriciens néo-classiques comme plus efficaces.

[11Pour le GES, on peut notamment penser au transport urbain de proximité et à l’agriculture

[12Le motif principal d’ailleurs de la censure de la taxe carbone par le conseil constitutionnel

[13Leurs conclusions sont basées sur un modèle récent (non détaillé dans l’article) : Acemoglu D., Aghion P., Bursztyn L. et Hemous D. (2009), « The environnement and directed technical change », MIT, Harvard, NBER working paper.

[14A la manière dont la hausse des prix de l’énergie a historiquement contraint les pays développés à rendre leurs économies moins intenses en pétrole. Ainsi, suite aux deux chocs pétroliers de 1973 et 1979, les économies développées, en œuvrant à la baisse de leur facture pétrolière, ont créé les conditions d’un « contre choc pétrolier », à partir de 1982 on observe une rétractation des prix à leur niveau en dollars courants de 1974 en 1986 et 1993.

[15Pour une approche plus "géopolitique" voir F. Gemenne (2009) Géopolitique du changement climatique, Armand Colin

[16Bien que, rappelle-t-il, une vision relevant de la culpabilité collective moralisatrice, en tant qu’anachronique, n’a strictement aucun sens d’un point de vue formel : au XIXème, période de développement des énergies fossiles, personne en occident n’imaginait leurs conséquences futures sur le climat. On pourra ajouter à cette idée le fait que les populations des pays du Sud ne se sont pas illustrées par un refus désintéressé de profiter elles aussi de ces énergies au motif qu’elles dérèglent le climat... Pour cause, elles sont indispensables à leur développement, comme elles l’ont été et le sont toujours dans les pays développés.

[17Ce « on » n’enlève bien sûr absolument rien au caractère irréductiblement subjectif de cette évocation...

[18Aussi peu surprenant que cela puisse paraître, c’est cette idée-force qui a inspiré le tonitruant discours d’Hugo Chavez au sommet de Copenhague. Ce dernier scandait, s’adressant aux chefs d’Etats du monde entier avec un talent oratoire et comique que même ses adversaires idéologiques peuvent volontiers lui reconnaître : « On pourrait dire, monsieur le Président, pour paraphraser le grand Karl Marx, qu’un fantôme parcourt les rues de Copenhague, et je crois que ce fantôme rôde en silence dans cette salle, il est là parmi nous, il se faufile entre les rangées, il sort en dessous, monte, et ce fantôme est un fantôme effrayant, presque personne ne veut le nommer : Es el capitalismo ! » Discours sous-titré en français à voir sur le site Dailymotion : http://www.dailymotion.com/video/xd0yvm_hugo-chavez-copenhagen-le-16-dec-20_news

[19Gilles Lipovetsky (2006), Le bonheur paradoxal. Essai sur la société d’hyperconsommation, Paris, Gallimard,

[20En y mobilisant notamment Veblen et sa Théorie de la classe de loisirs (1899), Hervé Kempf a étudié la question dans un livre au titre tout aussi journalistique : Comment les riches détruisent la planète ?, Paris, Seuil, 2004. Mais lui est journaliste...

[21Il est vrai que la capacité de ce mode de production à récupérer toutes les crises et subversions, y compris celles qu’il secrète lui-même, peut parfois laisser l’observateur dans un état avoisinant la sidération. Quelques travaux de renom ont cherché à saisir ce phénomène, dont le désormais classique de Luc Boltanski et Eve Chiapello (1999), Le nouvel esprit du capitalisme, Gallimard, coll. NRF, 843 p., et dans une perspective moins théorique, appliquée au néo-libéralisme, Naomi Klein (2008), La stratégie du choc. La montée d’un capitalisme du désastre, Actes-sud, coll. Essai sciences, 669 p

[22Jugement que l’on peut d’ailleurs tout-à-fait symétriquement appliquer aux analyses néoclassiques les plus éthérées.

[23Techniques certes, mais totalement abordables pour celui qui maîtrise les notions économiques de base...

Note de la rédaction

À lire aussi dans la rubrique "Lectures"

Une réponse de José Luis Moreno Pestaña au compte rendu de Pierre-Alexis Tchernoivanoff
Un ouvrage de Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot (Payot & Rivages, Coll " Essais Payot", 2009)
Une réédition de l’ouvrage de Katharine Macdonogh (Payot & Rivages, Coll "Petite Bibliothèque Payot", 2011)

À lire sur les mêmes sujets...

Environnement

Un numéro de la revue "Annales. Histoire, Sciences sociales", EHESS, 66e année, n°1, janvier-mars 2011)
Un numéro de la revue "Emulations" (PU Louvain, n°8, 2010)
Un ouvrage de Yannick Rumpala (Le bord de l’eau, coll. "Diagnostics", 2010)
Un ouvrage de Thierry Paquot et Chris Younès (La Découverte, coll. "Armillaire", 2010)

Partenaires

Mentions légales

© Liens Socio 2001-2011 - Mentions légales - Réalisé avec Spip.

Accueil |  Présentation  | Qui sommes-nous ?  | Charte éditoriale  | Nous contacter  | Partenaires  | Amis  | Plan du site  | Proposer un contenu