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"Les méthodes qualitatives" : les réponses des auteurs

Sophie Alami, Dominique Desjeux et Isabelle Garabuau-Moussaoui répondent au compte rendu de leur ouvrage par Jacques Le Bohec

publié le mardi 5 octobre 2010

Domaine : Sociologie

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Note de la rédaction : Ces deux textes constituent les réponses des auteurs au compte rendu par Jacques Le Bohec de l’ouvrage Les méthodes qualitatives (Presses universitaires de France, coll. "Que Sais-Je ?", 2009), que vous pouvez découvrir à l’adresse suivante : http://www.liens-socio.org/article.php3?id_article=6014

La réponse de Sophie Alami [1] et Dominique Desjeux [2]

Le professeur Le Bohec n’a pas aimé notre livre et pourquoi pas. Il émet un certain nombre de critiques tout à fait recevables sur le plan des valeurs et de l’émotion, voire de la souffrance personnelle face à un monde universitaire qui change. Cependant ses remarques posent plus de problèmes épistémologiques qu’elles n’en résolvent car elles supposent implicitement qu’il existerait une science pure et une science impure. La science pure serait le monopole des universitaires distanciés au détriment des acteurs comme les journalistes, dans son domaine, ou les chercheurs en entreprise dans le domaine des sciences humaines et sociales pour ce qui concerne notre « Que sais-je ? » Les méthodes qualitatives aux PUF. Seule la « sociologie de cour », la sociologie universitaire, - pour reprendre de façon homologique mais en l’inversant la belle analyse de Norbert Elias sur Mozart et Beethoven -, serait valable contre la « sociologie de marché ».

Pour sa critique du titre nous pourrions être d’accord avec l’auteur et nous aurions bien aimé appeler notre livre « Les ficelles du métier » de la sociologie sous contrat ou à la demande ou plus généralement de la ROD, Research On Demand. Mais le titre était déjà pris par Howard Becker !

Nous avons malgré tout choisi de traiter les ficelles de ce métier en émergence qui concerne des sociologues et des anthropologues qui réalisent des enquêtes qualitatives à la demande. C’est ce qui nous a conduits à garder le titre Les Méthodes Qualitatives, tout en développant clairement dans le « Que-sais-je ? » que nous traitions de la sociologie académique et professionnelle financée par des contrats publics, privés ou associatifs à partir d’un problème à résoudre ou d’une énigme sociale à élucider. Ces contrats ont donné lieu à des enquêtes aussi bien en France qu’à l’étranger, sur des riches comme sur des pauvres, sur des migrants et comme sur des sédentaires, sur des individus ou comme sur les classes sociales. Clairement, nous ne parlons pas d’une sociologie qui part des seules questions du chercheur, qui est sans financement mais qui garde bien sûr toute sa valeur dans son champ et ses méthodes. C’est celle du professeur Le Bohec.

Cette pratique de la recherche sous contrat n’est du reste qu’en partie nouvelle puisque déjà dans les années 1960 Michel Crozier publiait Le phénomène bureaucratique au Seuil à partir d’enquêtes sous contrats publics, et Pierre Bourdieu, Un art moyen, à partir d’une enquête financée pour une part par Kodak. Ce qui est nouveau c’est l’ampleur du phénomène aujourd’hui.

Cependant nous avons constaté qu’autant il existait de très nombreux livres de qualité sur les méthodes qualitatives, depuis le Manuel de sociologie d’Armand Cuvillier en 1950 aux PUF jusqu’au maintenant classique L’enquête de terrain de Stéphane Beaud et Florence Weber, à La Découverte, sans oublier Jean-Claude Kaufmann et d’autres, autant il n’existait pratiquement pas d’ouvrages sur les méthodes spécifiques associées aux recherches sur demande (ROD). A notre connaissance, il n’existe pas vraiment de références académiques sur l’itinéraire de construction d’une enquête depuis la demande jusqu’à la valorisation. Et pourtant il est probable que 80 à 90% des recherches et enquêtes empiriques aujourd’hui sont financées à partir d’une demande publique, privée ou associative. La grande majorité des chercheurs qui les réalisent n’est pas faite d’enseignants chercheurs à l’université mais de chercheur dans une entreprise comme EDF, GDF, L’Oréal, Peugeot ou la Française des jeux, pour ne citer que quelques exemples, en free lance, dans une société d’études, une ONG, un observatoire ou en thèse CIFRE.

L’enjeu de ce « Que sais-je ? » est donc de montrer, en 128 pages, à la fois les nouvelles conditions sociales de production de la sociologie, et plus généralement des SHS, et comment continuer à produire de la sociologie de qualité avec de nouvelles contraintes et notamment la contrainte de financement et de temps.

Il nous fallait donc présenter les ficelles de ce métier en cours de stabilisation, en nous appuyant, non pas comme nous le faisons classiquement dans nos enquêtes sur des références académiques qui n’existaient pas, mais sur la principale source dont nous disposions, les 120 enquêtes menées au sein d’Argonautes, un centre de recherche privé, qui a fonctionné de 1990 à 2001, date du décès de sa gérante sociologue Sophie Taponier.

C’est à peu près, dans la sphère académique, ce que fait Howard Becker dans son livre Les ficelles du métier. Comme lui nous partons de notre expérience d’entretiens en face à face, de nos relances improvisées, de nos observations, de nos animations de groupe, de nos histoires de vie centrées, sans compter les films ou les itinéraires photos. Dominique Desjeux avait d’ailleurs échangé à Paris avec Howard Becker, sa femme et Douglas Harper sur les usages de la photographie à propos de la publication dans la revue Visual Sociology d’un montage photos sur les gagnant et les perdants après un match.

Mais nous ajoutons d’autres ficelles qui sont directement liées aux nouvelles conditions sociales de production de la sociologie : comment répondre à un appel d’offre public (ANRT, ADEME, ministères, allocations de thèse, etc.) ou à une demande privée (contrat, thèse CIFRE, résolution de problèmes d’innovation, conduite du changement), comment construire un budget, - sans que pour autant notre livre ne couvre toutes les formes administratives de demande de financement qui sont infinies dans leur complexité -, comment trouver des clients et des financements, comment négocier la requalification d’une question concrète en problème sociologique afin de mieux répondre à la résolution du problème posé et de permettre la modélisation théorique qui pourra suivre l’enquête, et enfin, comment valoriser les suites de l’enquête.

Notamment nous évoquons, sans les développer, les règles du jeu sous contrainte de l’édition en SHS, suite à une enquête réalisée en 1991. Ces règles semblent, pour des raisons difficiles à comprendre, avoir choqué le professeur Le Bohec, alors que Dominique Desjeux a travaillé à l’Harmattan entre 1975 et 1995, notamment comme directeur éditorial pour les sciences humaines dans des collections connues pour publier des livres de recherche difficiles, qu’Isabelle Moussaoui y dirige une collection pour les jeunes chercheurs et que lui-même y a publié des livres de qualité sur le lepénisme.

Au final nous montrons que la distinction entre recherche fondamentale et appliquée a moins de sens en SHS que dans d’autres sciences comme les mathématique ou la physique théorique, - et en cela nous sommes plus proche d’une partie de la chimie, comme nous en avons souvent discuté avec Alain Fuchs à Argonautes dans les années 1990, de la biologie ou de la médecine -, puisque la qualité de l’enquête qualitative de terrain doit être la même qu’elle soit pour résoudre un problème ou pour faire avancer la réflexion théorique ou épistémologique.

Cependant la ROD exige, plus que la recherche non finalisée, de requalifier la demande d’un point de vue sociologique tout en intégrant la demande concrète. C’est une des ficelles qui demande le plus de tours de main et d’expérience, même si on n’y arrive jamais complètement. C’est ce que nous avons cherché à présenter dans le livre pour aider non seulement les étudiants qui cherchent à acquérir un métier basé sur la réalisation d’enquête empirique grâce à un financement qui leur permette de faire des enquêtes de qualité, en plus du métier universitaire, mais aussi les chercheurs sous contrats, les sociologues professionnels, les chercheurs en entreprises et les consultants.

Nous montrons aussi que toute enquête, académique ou non, est sous contraintes, d’école de pensée, de directeur de thèse, de choix de méthode, d’objectif d’entreprise, d’effet réseau ou d’effet de publication dans les revues de rang A ou autres, et qu’il n’existe pas de recherche pure.

Il y aurait du reste un programme comparatif à monter pour évaluer la qualité des résultats d’une enquête menée avec ou sans financement, en entreprise et à l’université. Le journaliste scientifique John Tiernay, dans le Herald Tribune du 28 janvier 2010, rapporte dans un autre domaine, celui de la médecine, que des chercheurs non financés par l’industrie ont analysé de très nombreux tests et conclu que ceux qui avaient été soutenus par l’industrie avaient des standards de qualité bien supérieurs à ceux qui n’étaient pas financés. C’est un bon exemple, qu’il serait bien sur important de revérifier, de ce que peut apporter une recherche sous contrainte de financement et de temps. John Tiernay débute son article en notant que bien souvent « l’accusation de conflit d’intérêt devient la stratégie la plus simple pour éviter un débat sur le fond ».

Il nous semble que pour faire avancer le débat sur le fond, il nous faut sortir de l’épistémologie abstraite et normative, hors-sol, pour reprendre une image agricole. Un des moyens pour le chercheur est de partir de sa pratique d’enquête grâce à l’élucidation des tours de main qu’il mobilise pour faire face aux incertitudes propres aux situations imprévues du terrain, ce qui est une pratique fréquente en anthropologie. La situation d’enquête qualitative est par nature mouvante, émotionnelle et non contrôlée a priori. Elle demande beaucoup de tours de main, de mobilité intellectuelle et de flexibilité méthodologique.

Les méthodes qualitatives se différencient donc fortement des sciences expérimentales dont la base méthodologique est fondée sur l’élimination de tous les effets d’incertitude. De même, elles se différencient des enquêtes quantitatives par questionnaire qui ont besoin de construire leurs objets d’enquête a priori avec une problématique et des hypothèses à l’inverse des enquêtes exploratoires qualitatives qui peuvent le faire tout au long de l’enquête.

Une ficelle du métier de la ROD qualitative est donc de montrer que la question des biais n’est pas centrale, que la projection maîtrisée du chercheur sur la réalité peut être un point de départ de la connaissance, que les usages des techniques de recueil de l’information sont toujours sous contraintes de situation, qu’il n’est pas possible d’être objectif et distancié mais que l’on peut tout à fait objectiver, - prendre du recul -, et donc analyser les résultats sur un mode inductif sans partir de concepts trop précis. La méthode qualitative permet des allers-retours entre les données collectées et les questionnements théoriques, les uns étant revus à la lumière des autres et inversement.

C’est ce qui fonde une autre ficelle, celle de l’approche compréhensive, non pas au sens de Max Weber, mais au sens de l’analyse stratégique, celle qui prend en compte, qui cherche à comprendre au sens premier, le sens et l’intérêt que chaque acteur donne à la situation et au jeu social dans lequel il est engagé. En ce sens elle se différencie de la sociologie critique qui elle est plus proche de la « sociologie de cour », celle du milieu académique, un milieu plus protégé des contraintes du marché.

Cette approche compréhensive repose finalement sur une série de trois retournements épistémologiques avec d’abord l’approche par les échelles d’observation, qui met l’accent sur les effets de découpage de la réalité pour comprendre les écoles de pensée tout en montrant que l’opposition entre approche qualitative et quantitative a une forte portée épistémologique (cf. D. Desjeux, Les sciences sociales, 2004) ; ensuite la méthode des itinéraires qui montre à la fois la dynamique des comportements sociaux et les effets de structure qui les organisent ; et enfin l’ambivalence positive et négative de tout phénomène social, tel le yin et le yang de la culture chinoise, comme indicateur du vrai dans une enquête de terrain.

Les méthodes qualitatives ont effectivement une ambition plus forte que celle de décrire uniquement des techniques de recueil de l’information et les ficelles de notre métier. Son ambition est de fournir un outil de réflexion sur les nouvelles conditions sociales de production de la sociologie ou des SHS et sur les implications pratiques que ces conditions produisent sur la dynamique de transformations des méthodes qualitatives, que ce soit pour le pire ou pour le meilleure, en fonction des valeurs éthiques ou politiques de chacun, tout en essayant de rester courtois et de continuer à rechercher le vrai.

La réponse d’Isabelle Garabuau-Moussaoui [3]

Sociologues professionnels, praticiens, chercheurs en sociologie appliquée, consultants, chercheurs en entreprise, etc. sont autant de termes renvoyant à des activités réalisées par des sociologues ou anthropologues, ne souhaitant pas, pour diverses raisons, ou ne pouvant pas, faute de postes, faire de carrières « académiques ». Loin d’être « en marge », comme le pense J. Le Bohec, ces chercheurs (sans guillemets) forment un groupe numériquement important, mais difficile à cerner, parce qu’ils sont souvent isolés dans leur structure, parfois obligés de ne pas déclarer être sociologue/anthropologue, voire dénigrés à la fois dans leur milieu professionnel (trop réflexifs, trop critiques, ils font des « enquêtes » qui ne plaisent pas toujours), et à la fois par leurs collègues « académiques » qui leur refusent le titre de sociologue, car ils n’exercent pas dans un organisme public.

La critique de l’ouvrage Les méthodes qualitatives par J. Le Bohec participe de cette stigmatisation et de cette hiérarchisation, celui-ci allant jusqu’à se donner le droit d’« octroyer [un] label scientifique » à nos productions (ou bien sûr, dans notre cas, le refuser). Derrière la critique de l’ouvrage lui-même, se dessine une critique plus radicale, celle de la sociologie dite « appliquée ». J. Le Bohec pense en effet qu’il existe d’une part des « spécialistes analysant froidement et objectivement » et de l’autre des « acteurs engagés dans l’action ». Cette vision du monde l’amène à lire notre ouvrage avec un regard particulier, dénaturant nos propos (sur l’édition en SHS ou sur les méthodes quantitatives, par exemple) et se contredisant parfois : nous participerions d’une « vue enchantée » de notre activité, mais nous serions « sous la coupe des ‘clients’ », nous serions frustrés de ne pouvoir publier, mais la bibliographie comporterait trop de nos publications...

Une critique majeure de M. Le Bohec porte sur le caractère de « témoignage subjectif » de l’ouvrage. Nous pensons effectivement, comme de nombreux sociologues, que toute science est un construit social qui repose sur bien autre chose que la seule démarche scientifique. C’est ce que notre ouvrage se proposait de mettre en lumière. En faisant part de notre témoignage de chercheurs, nous souhaitions montrer qu’une recherche appliquée est possible, qu’elle n’est pas toujours aisée à réaliser, et qu’une démarche réflexive sur les conditions d’exercice de notre métier pourrait permettre de dépasser un certain nombre de fantasmes sur l’aspect « commercial » des activités des « praticiens », qui gagneraient de l’argent sur le dos des SHS, alors qu’ils cherchent à exercer leur métier, dans des lieux, très rares, où cela est possible.

Cette démarche gagnerait d’ailleurs à être généralisée à tous les milieux professionnels des sciences sociales. Il serait par exemple très intéressant d’avoir un ouvrage « parallèle », « symétrique », sur l’itinéraire de la recherche publique, montrant les difficultés de « faire de la science » dans ce type d’organismes. Car nous savons bien, par les supports syndicaux et les discussions informelles avec nos collègues, que la recherche académique porte ses propres contraintes et limitations, et que les chercheurs dans les organismes publics ne sont pas exempts de la prise en compte d’éléments hiérarchiques, politiques, économiques.

Les sciences sociales dites « appliquées » ne sont pas par nature moins scientifiques que la recherche dite « académique ». Les chercheurs répondant à une commandite traduisent une question posée en problématique de recherche, utilisent la littérature en sciences humaines et sociales, empirique et théorique, sur le sujet construit, développent des protocoles d’enquête, choisissent des techniques de recueil de l’information, réalisent une analyse des terrains réalisés, restituent leurs résultats à leurs commanditaires avec distance et professionnalisme, publient leurs résultats quand cela est possible, participent à des colloques, etc. et remplissent tous les critères de scientificité de nos disciplines. Cette sociologie apporte une connaissance scientifique sur notre société dans des lieux où la sociologie « classique » n’entre pas, mais avec les mêmes objectifs : comprendre et expliquer. Elle se confronte à des problématiques diverses, des sujets variés, et permet de questionner des pratiques, de dialoguer avec des acteurs « opérationnels », pour que ceux-ci puissent se saisir de cette connaissance pour agir. Ne faut-il pas se réjouir qu’il existe cette demande sociale de sociologie, et qu’il existe des « passeurs » pour y répondre ?

Tant que ces chercheurs ne seront pas reconnus par leur groupe de pairs, ne seront pas jugés sur leurs compétences plutôt que sur la manière dont ils gagnent leur vie, et ne seront pas soutenus par leur groupe disciplinaire, ils seront bien plus fragiles et vulnérables aux « contraintes » de leur milieu professionnel. Pourquoi refuser que toute science contient une science appliquée, plutôt que d’accompagner une professionnalisation « intelligente », c’est-à-dire aidant les étudiants en sociologie sortant de l’université à exercer leur métier dans les meilleures conditions possibles, quel que soit le milieu professionnel dans lequel ils s’intégreront, soutenus par un collectif disciplinaire, les aidant à gagner en marge de manœuvre dans l’exercice de leur profession ?

Déconstruisons ensemble, pas à pas, ce que signifie faire de la « science » aujourd’hui en sciences humaines et sociales, et construisons-nous en groupe disciplinaire acceptant les différences et les diversités de pratiques, sans hiérarchies a priori, et nous créerons ainsi les conditions de développement des sciences sociales, appuyé par des principes communs et un appui mutuel, pour que la recherche fondamentale résiste face aux pressions des réformes actuelles, et que la recherche appliquée trouve sa place, de manière complémentaire, remplissant une des demandes et une des utilités sociales de la sociologie.

NOTES

[1Sociologue, directrice d’Interlis, société d’études, directrice des études de la formation doctorale professionnelle en sciences sociales à la Sorbonne (université Paris Descartes).

[2Anthropologue, professeur à la Sorbonne (université Paris Descartes), directeur de la formation doctorale professionnelle en sciences sociales, co-directeur du Master Professionnel, chargé de mission SOFIP pour l’insertion professionnelle des étudiants auprès du Président Axel Kahn.

[3Chercheur expert en anthropologie dans une grande entreprise, docteur en anthropologie sociale et culturelle (Paris-5-Sorbonne).

Note de la rédaction

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